Et ils dansaient le dimanche

Et ils dansaient le dimanche

  • Date de parution : 26 août 2021
  • 14 x 21 cm - 240 pages
  • ISBN : 9791034904303
  • 19,00 €
  • Version numérique - acheter
  • 14,99 €
  • ISBN ePub : 9791034904310
  • ISBN PDF : 9791034904327

Sur le quai de la gare de Perrache, un jour de l’année 1929, une jeune Hongroise, Szonja, a rendez-vous avec son avenir: la France où brillent encore les Années folles et l’usine qui l’a embauchée à la production de viscose. Répondre au désir des femmes d’acquérir ces tissus soyeux à bas prix ne lui fait pas peur. Son rêve, c’était de quitter le dur labeur de paysanne. À Vaulx-en-Velin, dans la cité industrielle, elle accepte la chambre d’internat chez les sœurs, les repas au réfectoire et les dix heures quotidiennes à l’atelier saturé de vapeurs chimiques. Les ouvriers italiens ne font-ils pas de même? Elsa, Bianca, Marco et les autres tiennent les rythmes épuisants, encaissent les brimades des chefs, inhalent les fumées nocives contre de maigres salaires. Cela ne les empêche nullement de danser le dimanche au bord de la Rize. Dans ces modestes vies d’immigrés, la grande crise fera irruption, amenant chômage, mise à l’écart des étrangers et affrontements avec les ligues. Portée par une inébranlable solidarité et une détermination à vivre, la colère constituera le socle de leur rassemblement, jusqu’à aboutir au Front populaire.

 

À propos

«Avec ce livre, Paola Pigani redonne des couleurs à ces archives ouvrières de la banlieue lyonnaise.»  Franceinfo
«D’une grande finesse, ce roman magnifie cités ouvrières, combats collectifs et intimes.» Le Pélerin
«Une fresque de la vie modeste dans l’Europe des années 1930.» Le Progrès
«Un livre où la fraternité et le collectif nous rappellent que les lendemains peuvent encore chanter et les travailleurs danser.» La Marseillaise
«Écrit à hauteur d’homme, le roman ressuscite à bas bruit des vies discrètes dans toutes leurs dimensions.» L’Usine nouvelle
«Un roman, beau et poignant, qui touche au cœur, comme les photos de Willy Ronis.» Baz’art
«Un livre émouvant et plein d’espoirs.» Surbooké

«La force de la mélancolie ouvrière sublimée par l’écriture de Paola Pigani.» Le Cadran Lunaire, Mâcon
«Paola Pigani nous emmène entre rêve et réalité, espoir et révolte, dans un récit très émouvant.» Librairie Café, Crécy-la-Chapelle
«Un indispensable de la rentrée littéraire.» Page des libraires, librairie Mot à mot, Fontenay-sous-Bois
«Un roman réaliste et fourmillant de vie.» Librairie Gibier, Pithiviers
«Une plongée dans le monde ouvrier des années 1930.» Librairie De fil en page, Château-Arnoux-Saint-Auban
«Paola Pigani nous offre une superbe fresque humaine et sociale.» Librairie La Joie de Lire, Toulon
«Une histoire sensible et pleine de petits bonheurs.» Librairie La Maison Jaune, Neuville-sur-Saône
«Une belle, délicate et attentive chronique romanesque du monde ouvrier.» Librairie La Buissonnière, Yvetot
«Un très grand et beau roman sur les luttes ouvrières, la solidarité entre femmes, la force de l’amitié dans une langue infiniment belle.» Librairie L’Arbre à Mots, Rochefort
«À lire impérativement » Librairie Lucioles, Vienne
«La force de la mélancolie ouvrière sublimée par l’écriture de Paola Pigani.» Le Cadran Lunaire, Mâcon
«Une plume incroyable de justesse et de beauté. Magnifique!» Librairie Page et plume, Limoges
«Une belle fresque humaine et sociale.» La Machine à lire, Bordeaux
«Paola Pigani donne « corps et âme » à tous ces gens de peu et oubliés de l’Histoire.» Librairie Le Genre urbain, Paris
«Une très belle écriture. Grâce aussi à un travail documentaire très fourni.» L’Autre Librairie, Angoulême
«Un magnifique roman!» Librairie M’Lire, Laval
«Une soif de dignité.» Librairie Mots et Images, Guingamp
«Un roman enchanteur. Eternel et universel.» La Griffe noire, Saint-Maur
«Une profonde humanité pour un roman très documenté.» Librairie Lulu, Mornant
« Une écriture attachante et généreuse.» Librairie Les champs magnétiques, Paris
«Entrez dans la danse comme on entre dans la lutte avec ce magnifique roman.» Librairie Le Phare, Paris

 

Et ils dansaient le dimanche par Paola Pigani
PAOLA PIGANI DEVANT LA CAMÉRA DE LA LIBRAIRIE MOLLAT
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