D’Acier

D’Acier

Traduit de l'italien par Françoise Brun
  • Date de parution : 7 avril 2011
  • 14 x 21 cm - 400 pages
  • ISBN : 9782867465673
  • 22,00 €
  • Version numérique - acheter
  • 12,99 €
  • ISBN ePub : 9782867466069

Il y a la Méditerranée, la lumière, l’île d’Elbe au loin. Mais ce n’est pas un lieu de vacances. C’est une terre sur laquelle ont poussé brutalement les usines et les barres de béton. Depuis les balcons uniformes, on a vue sur la mer, sur les jeux des enfants qui ont fait de la plage leur cour de récréation. La plage, une scène idéale pour la jeunesse de Piombino. Entre drague et petites combines, les garçons se rêvent en chefs de bandes, les filles en starlettes de la télévision. De quoi oublier les conditions de travail à l’aciérie, les mères accablées, les pères démissionnaires, le délitement environnant… Anna et Francesca, bientôt quatorze ans, sont les souveraines de ce royaume cabossé. Ensemble, elles jouent de leur éclatante beauté, rêvent d’évasion et parient sur une amitié inconditionnelle pour s’emparer de l’avenir.

À propos

PRIX DES LECTEURS DE L’EXPRESS 2011

«Un premier roman solaire et poignant, d’une énergie folle.» Elle (lire la suite)
«Un roman social et initiatique, ample et claquant comme un film qu’auraient cosigné Ken Loach et Gus Van Sant.» Libération (lire la suite)
«Un énergie hors du commun, une rudesse tout ensemble dérangeante et revigorante.» Télérama (lire la suite)
«La plume ample et réaliste transporte le lecteur.» Ouest France (lire la suite)
«Un sens aigu du portrait et de la mise en scène.» Le Journal du Dimanche (lire la suite)
«Un livre sombre, désenchanté, qui veut croire sans l’oser aux jours meilleurs.» La Croix (lire la suite)
«Une superbe fresque.» Biba
«D’acier saisit dès la première page par son étonnante qualité physique et sensuelle.» Grazia (lire la suite)
«Un roman engagé.» Livres Hebdo (lire la suite)
«Puissant. Aussi tranchant que vrai.» Le Parisien (lire la suite)
«Une écriture sauvage dans une fresque humaniste de haute tenue.» L’Humanité Dimanche (lire la suite)
«Une paire de Lolita qui aurait fugué de chez Nabokov pour faire un tour chez Zola.» Psychologies
«Un premier roman social de grande ampleur.» L’Express (lire la suite)
«Elle remue le fer dans la plaie d’une banlieue italienne.» Le Canard enchaîné (lire la suite)
«Une condamnation sans pitié de l’homme berlusconien.» Keith
«Un souffle prodigieux.» La Gazette Nord pas de Calais
«Germinal revisité par Irvine Welsh.» France Culture, Jeux d’épreuves
«Un roman qui brille comme une lame d’acier, un poignard planté en plein cœur de L’Italie.» Lire
«Un premier roman très prometteur.» RTL
«L’un des plus beaux livres de la saison.» France Inter, L’humeur vagabonde

«Un portrait social sombre et néanmoins poétique d’une cité de banlieue d’Italie … Un vrai gros coup de coeur !!!!!» Librairie La Soif de lire, Strabourg
«Une fresque sociale puissante et brutale. L’usine, la violence, la dureté de la vie et la difficulté de s’imaginer un avenir. Alors il reste le rêve. Saisissant.» Fnac Défense
«Quelle découverte!» Librairie La Licorne, Bruxelles
«Silvia Avallone excelle au jeu sur les contrastes entre couleurs ensoleillées et noir de noir. Révélation d’une nouvelle voix à la fois âpre et lumineuse.» Librairie Le Jardin des lettres, Craponne
«Si vous décidez d’y pénétrer, suivant la plume incroyablement lucide et cruelle de la jeune Silvia Avallone, n’espérez pas en sortir purifié.» Librairie Les Cordeliers, Romans-sur-Isère
«Pas facile de quitter D’acier, Anna, Francesca et les autres laisseront une trace indélébile dans ma mémoire.» Librairie Le Pavé dans la mare, Elancourt
«La crudité du ton qui déborde de ce trop plein de gâchis, d’espoirs et de misère confondus dont l’histoire s’avère captivante de la première ligne à la dernière, déjoue tous les pièges de la vulgarité gratuite.» Librairie Payot, Nyon
«A lire absolument.» Librairie L’esprit large, Guérande

«Un effet littéraire dévastateur » Il Tirreno
«Une ampleur surprenante pour une débutante.» Corriere della Sera
«Silvia Avallone reprend le fil du roman social.» La Repubblica

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