Bel-Air
Lionel Salaün, invité à la BnF par PAGE des libraires
Perchée sur la colline, à l’écart du centre-ville, une cité ouvrière et son bistrot : le Bel-Air. Au comptoir, le patron s’enflamme contre les Arabes du foyer de travailleurs et, depuis le baby-foot, les jeunes reluquent la serveuse en se prenant pour Marlon Brando. Gérard et Franck ont grandi là comme des frères. Mais alors qu’une guerre se termine en Indochine et qu’une autre débute en Algérie, leurs premiers choix d’hommes vont brutalement les séparer. Bien des années plus tard, alors que le Bel-Air est sur le point de disparaître, une ultime rencontre jettera un éclairage nouveau sur le passé et sur leurs certitudes.
Bel-Air renoue avec l’écriture fougueuse et les thèmes chers à Lionel Salaün: le racisme ordinaire, le clivage social, l’amitié, la loyauté.
À propos
«La pépite oublié de cette rentrée littéraire. Courez chez votre libraire. Maintenant !» RTL
«Le roman baigne dans une mélancolie diaphane et grave, légèrement décalée, que la fuite du temps et la destruction du passé ne cessent de raviver.» Le Matricule des anges (lire la suite)
«Bel-Air sonne délicieusement comme une vieille chanson de Renaud. Touchant .» L’Alsace
«Son truc c’est plutôt la nostalgie. Et un final poignant.» Le Républicain Lorrain (lire la suite)
«On y retrouve tous les thèmes qui lui sont chers: la fraternité, la loyauté, le racisme et la guerre.» Mémoire des arts
«Une histoire de jeunesse, d’amitiés viriles et de trahison, dans la France de la fin des années 50.» Livres Hebdo (lire la suite)
«Une peinture juste et brillante de la France qui voit naître ses cités et qui cherche ses idéaux à l’aube de la guerre d’Algérie.» Transfuge
«Il nous immerge dans une France des années 50 subtilement restituée, aussi sympathique par sa gouaille et sa générosité qu’odieuse par son racisme primaire et ses préjugés.» La Semaine
«Un roman social, sublime et émouvant.» Madame Figaro (lire la suite)
«On y retrouve l’amitié, la fraternité, le racisme et la guerre. À découvrir.» Mag 2 Lyon
«La plume de l’auteur est brillante, fougueuse, rythmée et dépeint avec justesse cette France non apaisée. Un roman fort.» Parutions.com
«Un drame de l’amour, de l’amitié et de la trahison. Une leçon de vie qui s’éclaire bien des années après.» Culturebox
«Il confirme ses formidables dispositions de raconteur d’histoires.» La vie nouvelle
«Apre et beau.» Lyon Capitale
«Un deuxième roman réussi.» Tout Lyon Affiches
«Lionel Salaün confirme son talent et le regard profondément humain qu’il porte sur ses personnages.» Librairie La 25e Heure, Paris, Page des libraires (lire l’entretien)
«Grâce au talent de conteur de Lionel Salaün, Bel-Air restitue à merveille les tumultes de l’Histoire et la générosité des gens ordinaires.» Librairie Doucet, Le Mans
«Ne pas se méprendre, sous son faux air désuet et nostalgique Bel-Air est un roman au goût âpre et violent qui dit l’extrême des sentiments, les pires comme les meilleurs. À déguster d’un trait comme une bonne gnôle.» Le Cadran lunaire, Mâcon
«Une peinture sensible et émouvante de la France des années 50 servie par une écriture sublime et une intelligence rare.» La Manœuvre, Paris
«Lionel Salaün aborde les thèmes de l’amitié, du besoin de liberté, des différences sociales infranchissables. C’est aussi le roman d’une jeunesse perdue, gâchée par la menace de la guerre d’Algérie.» Librairie Ravy, Quimper
«Après le formidable Retour de Jim Lamar, le nouveau roman de Lionel Salaün est de ces livres qui s’incrustent en vous tout autant qu’un amour aperçu, qu’une baffe salutaire, qu’un slow avec Cathy, qu’une flèche en néon qui affiche “Bel-Air”.» Librairie Saint Christophe, Lesneven