Les mafieuses
  • Date de parution : 7 février 2019
  • 14 x 21 cm - 160 pages
  • ISBN : 9791034900909
  • 15,00 €
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  • 7,49 €
  • ISBN ePub : 9791034900916
  • ISBN PDF : 9791034900923

Il y a toujours moyen de s’arranger avec la réalité chez les gangsters. À condition de respecter le code d’honneur, on peut même mener une vie formidable ! C’est en tout cas ce que Leone Acampora, vieux mafioso grenoblois, a enseigné à sa famille. Michèle et ses deux filles ont donc appris à fermer les yeux lorsqu’elles trébuchaient sur un cadavre ou une valise de cocaïne dans leur joli salon en marbre. Et si, aujourd’hui, Dina a parfois mauvaise conscience, elle espère se racheter en travaillant dans l’humanitaire. Quant à Alessia, pharmacienne inspirée, elle a pas mal d’idées pour moderniser le business paternel. Ainsi va la vie chez les femmes Acampora, entre coups de fusil à pompe et séances de tai-chi. Jusqu’à ce que le vieux Leone perde les pédales. Car avant de mourir, il a laissé une dernière instruction : lancer un tueur à gages aux trousses de sa femme… L’occasion pour les mafieuses de déboulonner un vieux monde machiste et ringard.
Subtilement féministe, délicieusement féroce, Pascale Dietrich bouscule les codes pour teinter de rose le roman noir.

À propos

Prix du Roman Noir français / Festival du film policier de Beaune 2020
«Une imagination à la fois diabolique et pleine d’humour.» Avantages
«Court et taquin, le persiflage toujours inattendu, le livre s’avale cul sec.» L’Express
«Hautement recommandable.» Le polar de Poirette, Europe 1
«Les Mafieuses est un polar jubilatoire qu’il faudrait prescrire à tous les dépressifs de la planète, ce qui assurerait à son auteure un confortable revenu.» Libération
«Une satire décapante et féministe.» Version femina
«Un polar truculent.» Marianne
«C’est original, c’est vivifiant et c’est aussi plein d’humour.» Le Parisien
«Dans cette enquête où le suspense le dispute à l’humour noir, ce sont les femmes qui mènent la danse.» L’Obs
«Un polar enlevé, drôle, un tantinet acide, juste ce qu’il faut, aux personnages attachants.» Quatre Sans Quatre

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