Attention au parquet !

Attention au parquet !

traduit de l’anglais par Françoise Pertat
  • Date de parution : 6 mars 2014
  • 14 x 21 cm - 304 pages
  • ISBN : 9782867467165
  • 21,00 €
  • Version numérique - acheter
  • 10,99 €
  • ISBN ePub : 9782867467219

Murs immaculés, meubles design et parquet en chêne. Un appartement minimaliste et lisse où rien n’accroche le regard. Quoi de mieux pour passer quelques jours paisibles consacrés à l’écriture, loin de Londres, loin de tout? Surtout si cela permet de rendre service à un vieil ami qui souhaite partir régler son divorce à l’autre bout de la planète. Après tout il s’agit juste de prendre soin des lieux et des chats. Notre écrivain n’ignore rien de la maniaquerie obsessionnelle de son ancien camarade d’université, mais il ne s’attend pas à découvrir dans chaque recoin de l’appartement des messages de recommandations concernant le contenu des tiroirs, les produits d’entretien, le piano, les chats et surtout le précieux parquet… Il ne s’attend pas non plus à ce que tout dérape très vite, y compris l’image qu’il se fait de son ami Oskar…
Absurde, cruel, kafkaïen, Attention au parquet! est une mise en garde drôlissime contre cet étrange besoin de perfection qui sommeille en chacun de nous.

À propos

«Un défi kafkaïen d’une drôlerie acide.» Le Monde des livres (lire la suite)
«Absurde et cruel, ce roman a tous les ingrédients de l’humour anglais.» Ouest France
«Roman subtil et juste qui amuse et fait réfléchir avec brio.» Paperblog
«Une situation loufoque à travers laquelle Will Wiles dénonce les travers de la fétichisation des biens matériels.» Métro
«Drôle et amer.» Page des libraires, Librairie Nouvelle, Asnières (lire la suite)
«C’est LE livre à ne manquer sous aucun prétexte.» Le Dauphiné libéré (lire la suite)

«C’est drôle, acide, absurde.» Librairie Pages après Pages, Paris
«Un premier roman atypique, à la fois inquiétant et hilarant – un vrai plaisir de lecture.» Librairie Garin, Chambéry

«Une brillante satire sur la fétichisation de nos maisons et de nos biens.» The Guardian
«Un mélange d’humour mordant et de symbolisme grotesque, comme si Kafka rencontrait Larry David.» The Boston Globe

Abonnez-vous à notre lettre d'info